
Tunis, UNIVERSNEWS (CULT) – Pour être « in », actuellement, il faut s’afficher aux soirées du Festival international de Carthage… et ce que ne se privent pas de faire certaines personnes en mal de sensations, afin de se montrer à la page… et c’est ce qui fait les affaires des spécialistes de la spéculation et des magouilles malsaines pour se faire de l’argent facile.
Profitant de cette aubaine, des spéculateurs s’évertuent à donner du fil à retordre à ceux qui cherchent à assister aux spectacles de ce festival, bien qu’il ne soit pas à la hauteur de la renommée acquise dans le passé. Selon les informations qui circulent, les billets d’entrée disparaissent, dès leur mise en vente sur le site qui les commercialise… et les amateurs sont obligés de se démener comme des beaux diables… afin de pouvoir acquérir un billet au prix fort, au marché noir, ce qui constitue une honte.
Tout cela se passe au vu et au su de tout le monde, sans qu’il y ait de décision pour couper l’herbe sous les pieds des spéculateurs… ce qui fait, peut-être, l’affaire de certaines parties impliquées !!!
Un citoyen averti a résumé la situation en cinq points :
1. Les billets sont presque tous vendus.
2. Pour entrer et obtenir une place décente sur scène, il faut partir avant 17 h pour assister au spectacle à 22 h.
3. La file d’attente, qui commence à 17 h, atteint la mosquée Zine El Abidine à partir de 18 h 30.
4. Pour ceux qui sont assis à l’étage, le son est quasi-inexistant et ils doivent écouter à distance, sans couverture audio de l’ensemble du festival.
5- La qualité du son est très médiocre, même pour les gros plans, et n’atteint pas celle que respecterait quelqu’un qui aurait payé une place bien plus chère.
Inutile de s’étendre sur la propreté des lieux, le traitement, le parking, etc.
D’après les témoignages de personnes qui ont patienté et enduré cette torture systématique en regardant des émissions qu’elles ont regrettées.
A bon entendeur… salut !!!