Moncef Marzouki, que nombreux observateurs ont toujours considéré comme étant un président par accident, continue à faire des siennes et confirme, si besoin est, qu’il devrait subir des examens quant à ses capacités mentales. On se rappelle que feu Béji Caïd Essebsi avait fait allusion, lors d’un de ses discours officiels, à des séjours psychiatriques qu’aurait passés Marzouki dans un établissement hospitalier en France.
Lors de sa campagne électorale actuelle, Moncef Marzouki a eu un comportement « hystérique » en entonnant en chœur une chanson religieuse, chère au parti islamiste d’Ennahdha qui avait, rappelons-le, permis, par un vote massif, à Marzouki d’avoir un score respectable à l’élection présidentielle de 2014.
Sans procéder à une description et à des commentaires de cette « prestation » de Moncef Marzouki à Sidi Hassine, nous laisserons le soin à nos lecteurs de juger par eux-mêmes cette attitude clownesque.
A rappeler que Moncef Marzouki est allé à Carthage après avoir été élu avec sept mille voix sur une liste CPR pour l’Assemblée nationale constituante (ANC) et suite à un marchandage et un marché conclu avec Ennahdha en 2011.
A noter, également, que tout le long de son passage à la magistrature suprême, Marzouki s’est tristement illustré par des bourdes et par actes de populisme indignes d’un chef d’Etat. Et tout le monde se rappelle de sa répartie « Bonté divine ! », rendue célèbre après avoir été retenue comme l’intitulé d’un succulent ouvrage écrit par notre ami et confrère Nizar Bahloul, directeur-fondateur de Business News.
Noureddine HLAOUI