- Confirmation et compromission de Washington ?!
- Le fils de Biden et George Soros parmi les principaux bailleurs de fonds pour 30 unités de recherche sur 14 sites en Ukraine !
L’affaire des laboratoires pour la fabrication d’armes biologiques mises en place par les soins de sociétés chapeautés par Hunter Biden, fils du président des Etats-Unis d’Amérique, Joe Bien ; est en train de l’ampleur.
En effet, passant du stade des hypothèses et des doutes, elle l’affaire est en train de passer à l’étape de la confirmation et revêtir tous les ingrédients d’un scandale planétaire que certains qualifient, déjà, de celui du siècle surtout que les dernières révélations interviennent en plaine guerre russo-ukrainienne.
Plus encore, les toutes récentes révélations sont le fait du journal américain, le New York Post, ce qui, selon les observateurs, ne devrait plus laisser aucune place au doute. Ce journal new yorkais, réputé pour son sérieux et sa crédibilité, précise que la famille du président des USA, par le biais de son fils, Hunter, est impliquée dans un gigantesque schéma de création de laboratoires d’armes biologiques en Ukraine portant sur 24 pathogènes.
Et d’ajouter que « les affirmations russes selon lesquelles le fils du président Joe Biden, Hunter, serait en train de financer des laboratoires biologiques sont véridiques ». Ces informations pourraient ouvrir sur le plus grand scandale du siècle, obligeant à remettre en perspective tous les événements depuis le début de la crise russo-ukrainienne.
Il ne faut pas perdre de vue que le le New York Post est le journal qui, en octobre 2020, avait mis la main sur l’ordinateur portable d’Hunter Biden. On y apprenait déjà, entre autres collusions de très haut niveau, la nomination du fils au sein du Comité de Direction de la société ukrainienne Burisma, en 2014.
Cette fois, l’entreprise mise en cause dans l’investissement en armes biologiques n’est autre que Rosemont Seneca Technology Partners, dont le fond appartient au propre au fils du président.
Selon un communiqué de l’ambassade de Russie, publié sur son canal Telegram le 25 mars dernier, le nombre de laboratoires mis en place par Hunter Biden, avec l’aide de l’Agence américaine pour le Développement International, la Fondation Georges Soros et le Centre de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC), serait de « 30 unités de recherche sur 14 sites en Ukraine ».
Quant au financement, « pour la seule période de 2018 à 2020, il s’élèverait à 32 millions de dollars ». Difficile de ne pas penser à la panique de Victoria Nuland, à l’idée que les Russes puissent avoir accès aux données de ces laboratoires.
C’est dire qu’il devient très urgent de faire toute la lumière sur ces laboratoires, sur l’implication de la famille Biden et d’éventuelles agences américaines.