L’eau ruisselant dans les canalisations à ciel ouvert dans les vergers d’Ain Jloula a dernièrement cessé de couler, pour assoiffer les périmètres irrigués plantés d’oliviers, d’abricotiers et d’agrumes.
Face à la réticence d’un bon nombre d’irrigants de payer leurs cotisations annuelles (50 dinars l’Hectare), l’association chargée d’assurer la distribution des eaux a été contrainte à couper ce précieux liquide. Une décision venue à un moment où les besoins hydriques dans la région ont dangereusement baissé, à cause de la sècheresse persistante.
Les autorités à l’échelle locale et régionale sont appelées à solutionner rapidement ce problème en aidant l’association en question à récupérer les sommes non encore perçues (14.000 dinars environ) et en installant des compteurs individuels dans chaque verger.
N.K.