TUNIS – UNIVERSNEWS – La commune de Ain Jelloula s’étend de plus en plus et les terrains constructibles deviennent de plus en plus rares, menaçant la pérennité des vergers plantés d’arboriculture et des abricotiers plus particulièrement .Car dans la situation actuelle, seules les superficies jouxtant l’édifice de l’école préparatoire et le stade municipale pourraient être proposées comme solution pour faire face à l’extension urbaine.
Les campagnes de propreté se multiplient
D’autre part, les campagnes de propreté se multiplient dans le périmètre communal, traversé par une belle route asphaltée, longue de plus de quatre kilomètres , et bordée de canalisations en béton à ciel ouvert qui irriguent les centaines d’hectares et faisaient la renommée de cette localité depuis la plantation du premier oranger en 1948 du siècle dernier.
A cet effet les responsables municipaux de cette commune multiplient l’organisation de campagnes de propreté en collaboration avec les administrations de la ville et les différentes composantes de la société civile pour rendre cette perle plus belle, plus propre, et plus vivable.
Des canalisations à rénover
Dans ce cadre, et dans l’attente de moderniser le système d’irrigation intelligent, destiné au partage des eaux d’irrigation adopté depuis plusieurs décennies, semblable à celui d’Ibn Chabat dans l’oasis de Tozeur, l’entretien des canalisations d’irrigation actuelles est souhaitable notamment à l’intérieur des vergers, afin d’économiser l’eau d’irrigation.
Cela embellira davantage cette région, devenue grâce à son important patrimoine archéologique (les grottes préhistoriques de Nacala et les antiquités romaines de Ain Jelloula) et sa flore luxuriante, une des destinations préférées des tunisiens.
Néji KHAMMARI