
TUNIS – UNIVERSNEWS Certains vont, surement nous taxer de racistes… certes, et loin de nous toute idée ségrégationniste, parce que la Tunisie a été, de tous temps, une terre d’accueil et de coexistence pacifique, mais le flux de Subsahariens, depuis la « révolution » est, vraiment, inquiétant… surtout que c’est un plan ourdi par des forces occultes qui ont des desseins aussi vicieux que destructeurs.
La Tunisie ne comptait pas plus de 120 mille résidents étrangers, en janvier 2011… et, tout d’un coup et depuis cette date, on a observé un afflux inquiétant de nos frères africains dont certains, sans raison valable de quitter leurs pays.
Un peu plus de dix ans après, le nombre a gonflé d’une manière inquiétante et on parle, aujourd’hui de plus de 1,2 million subsahariens et certains avancent, même, sur les réseaux sociaux, que les pays européens font pression sur la Tunisie… pour accueillir près d’un million de subsahariens menacés d’expulsion d’Algérie.
Le plan ourdi, pour l’accueil de ces migrants, dans leur majorité, indésirables avait commencé avec l’ancien président provisoire de la République, Mohamed Moncef Marzouki, dont l’une des premières décisions a été « d’annuler les visas pour nos frères africains », et dès lors le flux a commencé… et cela a continué, lorsque Youssef Chahed était à la barre. Auparavant, ce fut l’ancien chef du gouvernement islamiste, Hamadi Jbali, qui avait signé un accord avec l’Italie, pour accepter d’accueillir en Tunisie chaque année quelques deux cents subsahariens par an.
Aujourd’hui, la Tunisie est face à une bombe à retardement, avec les subsahariens qui ont « importé » avec eux leur mode de vie… et on avait eu, même, droit à la visite de leurs « prophètes » (disons, plutôt, leurs sorciers) qui s’enrichissent en semant la bonne parole, à travers des cérémonies sataniques.
Avec ces développements, toute la configuration de la société tunisienne est menacée. A cela s’ajoute le penchant de certains de ces « hôtes » pour la mendicité, tombant dans les bras de ces bandes organisées de mendiants qu’on trouve, toujours, dans les points stratégiques des grandes villes.
Il y a, aussi, les dangers du terrorisme, surtout que de nombreuses organisations sont proches d’El Qaïda et de Daech, avec, en plus, le suprématisme noir et les liaisons suspectes avec les sionistes. Et, pour couronner le tout, voilà que la centrale syndicale qui ouvre la voie à la création d’organisations et d’associations pour défendre les « droits des migrants subsahariens ».
La Tunisie restera un pays d’accueil, mais de là à servir les intérêts de qui que ce soit –surtout que le plan de d’installer les migrants africains en Tunisie ne date pas d’aujourd’hui- mais de là à ce que le phénomène prenne cette ampleur… Il y a de quoi s’inquiéter !!!
MUSTAPHA MACHAT