TUNIS – UNIVERSNEWS – Il y a, toujours, une fin à tout… et l’hégémonie américano-européenne a pris son temps et n’a que trop duré, surtout avec l’égocentrisme d’un Groupe des sept (G7) pays les plus riches qui se sont rempli «les poches», sans accorder de l’importance aux besoins des autres et tout en exerçant un diktat nauséabond qui « sème la terreur » chez les pays « pauvres » et à qui on accorde –comme bienfait- le titre honorifique de « pays en développement ».
Au milieu des orgies médiatiques pratiquées par l’Union européenne et l’Amérique pour prétendre avoir le pouvoir et le contrôle sur le monde, le démenti retentissant vient du magazine Financial Times et de l’analyste en chef du journal proche des cercles dirigeants, qui a appelé le Groupe des Sept à accepter l’idée qu’il ne pourra plus gouverner le monde, et que l’hégémonie américaine et le contrôle exercé par ses multinationales appartiennent au passé.
Le cercle de l’hégémonie américano-européenne rétrécie au fil des jours –et non plus des années- avec l’accélération de la constitution de blocs opposés, pour ne pas dire des adversaires et qui commencent à avoir leur mot à dire et à rassembler les mécontents qui ne veulent plus accepter de tout donner, sans rien recevoir en contrepartie… et le BRICs –nouvelle alliance entre la Chine, la Russie et… l’Afrique du sud- est bien là pour en témoigner !!!
Cela survient, aussi, au milieu des mouvements russo-chinois visant à créer une nouvelle force de rapprochement avec l’Iran, l’Arabie saoudite et les pays africains riches, en particulier avec la fin proche de la guerre ukrainienne, qui se terminera, inéluctablement, par un camouflet à l’OTAN et ses forces de soutien.
Certaines parties en Tunisie ne veulent pas accepter ces évidences et cette nouvelle réalité et continuent de quémander un soutien auprès de l’Union européenne en «faisant des rapports secrets» insidieux remis aux ambassades, en échange de communiqués prépayées.
Pour ne pas l’oublier, l’Union européenne est hantée par de lourds scandales, notamment à travers le lobbying de certains députés du parlement européens au profit de certains pays –Qatar et Maroc, entre autres- tout comme la Cour suprême des États-Unis, dont les juges sont impliqués dans des scandales et des affaires de pots-de-vin.