TUNIS – UNIVERSNEWS (POL) – Entre la médiocrité de la télé et la futilité de l’être humain, les blague pullulent et ne se ressemblent pas, comme nous le montrent les deux internautes suivants.
Pourquoi elle n’a pas de télé !!!
Essia Atrous, une consœur qui a roulé sa bosse dans le journalisme, durant toute sa vie, est déçue tellement de la télévision qu’elle juge que c’est un mal qui rend malade… c’est ce qui ressort de son post qu’elle a publié sur Facebook :
« Je suis sans télé depuis dix ans. Mon fils, heureux, est venu et m’en a apporté une. J’ai fait semblant d’être contente. Il m’a montré comment m’en servir et est parti en volant de joie. J’ai oublié de vous dire que j’ai le fils le plus merveilleux du monde. Il est parti et j’ai fait fonctionner la TV à la recherche d’un film Western. Là où le héros qui zigouille avec une seule balle 10 hommes armés. J’ai trouvé une émission avec Nejib Dziri, celui que tout le monde insulte sur Facebook. Je viens de comprendre, alors, pourquoi, à 73 ans, je n’ai ni diabète ni tension artérielle…. C’est, simplement, parce que je n’avais pas de télé ».
- Avec un micro et devant une caméra, certains se croient les maitres du monde… mais, dès qu’ils quittent le plateau, ils ne sont plus rien, surtout que les gens ne veulent plus voir de banalités et de médiocrité. Les télévisions tunisiennes devraient revoir leur copie, afin de satisfaire les besoins des citoyens en programmes productifs et intéressants, et ne plus tomber dans la banalité… et à bon entendeur salut, de la part de journalistes chevronnés dont la carrière est pleine de réalisations
L’être humain est incroyable !!!
La sagesse recommande d’être pondéré et de savoir donner aux choses l’importance qu’elles méritent… mais, pour ce qui est de la futilité de la vie, Azed Badi nous rappelle qu’il faut savoir vivre sa vie comme il faut et bien profiter de ce qu’elle offre. Il indique :
« Quelqu’un a demandé à Gibran Khalil Gibran : Quelle est la chose la plus incroyable chez l’être humain ?
Et il répondit :
« Les humains s’ennuient de l’enfance, ils se dépêchent de grandir, puis ils désirent être à nouveau des enfants, ils gaspillent leur santé pour collecter de l’argent, et ensuite le dépensent pour retrouver
Ils pensent à l’avenir avec anxiété, et oublient le présent, ils ne vivent ni le présent ni le futur… Ils vivent comme s’ils n’allaient jamais mourir, et meurent comme s’ils n’avaient jamais vécu ».
- Cela implique qu’on ne doit pas chercher le superflu et faire le nécessaire pour que la vie soit de la meilleure manière possible