Tawfik BOURGOU
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Ce sont les mêmes qui ont vendu la Tunisie aux terroristes en 2011 qui sont en train de la vendre aujourd’hui aux nouveaux colonisateurs
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Ceux qui vous ont insultée ne sont que les complices d’un accord signé dans des conditions obscures qui impose à la Tunisie des conditions pires que celles de 1881
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Que cela déplaise aux collabos de la nouvelle colonisation, nous le disons clairement, il y a invasion subsaharienne en Tunisie, suivie d’une colonisation
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Le HCR et le millier d’associations qui vivent de ce commerce, qui sont les supplétifs des mafias subsahariennes n’ont jamais été en mesure de prouver que les envahisseurs étaient des réfugiés
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La Tunisie fait face à une colonisation par déplacement massif de populations exclusivement subsahariennes aidées par des congrégations religieuses, par des églises évangélistes et par des églises protestantes
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Chaque jour la Tunisie est sommée de récupérer en mer des barcasses sans que celles-ci n’aient eu de point de départ en Tunisie
TUNIS – UNIVERSNEWS Chère Madame, un grand merci, vous avez dit en un instant et porté fort ce que nous écrivons depuis deux ans, mais à la force de votre patriotisme vous avez ajouté le mot fort, un cri de ralliement: «El beb ou gharreb», ce que nous traduisons «Tournez-vous vers la frontière et partez».
A votre audace et votre patriotisme une camarilla, un assemblage indigne, une cinquième colonne a répondu par l’invective. Ceux qui vous ont invectivée ont fait de la vente de la terre des ancêtres un commerce lucratif, ils ne sont que les supplétifs de douteuses ONG et d’acteurs occultes dont l’objectif est de démolir le peu qui reste de la Tunisie.
Ce sont les mêmes qui ont vendu la Tunisie aux terroristes en 2011 qui sont en train de la vendre aujourd’hui aux nouveaux colonisateurs. Certainement, s’ils avaient été en 1881, on sait de quel côté de l’histoire ils auraient penché.
Ceux qui vous ont insultée ne sont que les collabos de la nouvelle occupation qui envahit chaque jour un peu plus la Tunisie à cause du voisinage et à cause d’un accord qui impose par la force une population étrangère hétéroclite en lieu et place de la population tunisienne de souche à laquelle on impose l’exil.
Ceux qui vous ont insultée ne sont que les complices d’un accord signé dans des conditions obscures qui impose à la Tunisie des conditions pires que celles de 1881.
Ceux qui insultent sont les complices des violeurs des tunisiennes à El Amra, complices des assassins des gardes-nationaux, du membre des forces de l’ordre défenestré, ils ont tenu la main de ceux qui ont planté le couteau dans le corps de ce jeune sur la route de Mahdia, complices des incendiaires des oliviers, complices des mafias qui vendent le pays centimètre par centimètre.
Alors pour reprendre les choses simplement et les souligner une fois pour toute : nous le disons clairement, il y a invasion subsaharienne en Tunisie, suivie d’une colonisation. Que cela déplaise aux collabos de la nouvelle colonisation, cela ne nous gêne guère, car nous sommes nombreux à dénoncer et nous serons nombreux à nous battre par tous les moyens contre l’invasion et ses acolytes. Ces occupants doivent partir et partiront. C’est clair et net.
Cette invasion se fait depuis la Libye avec la complicité de la multitude de milices libyennes qui tirent un profit du déplacement des personnes. L’invasion se fait aussi de façon active, directe avec l’aide des autorités algériennes, donc avec le consentement des plus hautes autorités militaires algériennes qui ambitionnent de vassaliser encore plus la Tunisie. Elle se fait par au moins trois points frontaliers nord, centre et sud.
Les personnes qui envahissent la Tunisie ne sont en aucun cas des réfugiés. C’est un mensonge, le HCR et le millier d’associations qui vivent de ce commerce, qui sont les supplétifs des mafias subsahariennes n’ont jamais été en mesure de prouver que les envahisseurs étaient des réfugiés au sens du HCR. Nous les mettons au défi de le prouver une seule fois. Faux réfugiés, vrais colonisateurs en revanche.
Ces personnes viennent tous de pays riches et « safe » comme la Côte d’Ivoire, dont les criminels ont élu domicile à Jébeniana et qui envahissent la Tunisie avec l’aide et la complicité de leur gouvernement. Nous accusons et nous soulignons ce point précis.
Ils viennent du Cameroun dont les autorités incitent et payent l’implantation d’une association de camerounais par ville tunisienne. Une association de camerounais par ville de l’aveu même de leur président devant médias et qui a même menacé les autorités tunisiennes. Ils viennent de RDC, un des pays les plus riches au monde.
Ils viennent du Tchad dont le premier ministre a récemment menacé la Tunisie, comme si le Tchad était le phare de la démocratie. Une menace à peine voilée pour imposer à la Tunisie de payer le prix de l’exponentielle démographie africaine.
La Tunisie fait face à une colonisation par déplacement massif de populations exclusivement subsahariennes aidées par des congrégations religieuses, par des églises évangélistes, par des églises protestantes, par des associations aidées directement par les missions diplomatiques étrangères accréditées à Tunis. Cela doit rappeler à beaucoup des cas historiques, au moins un au 20e siècle.
Cette invasion a été facilitée par la nonchalance des autorités tunisiennes et par l’amateurisme avec lequel ils ont signé l’accord mortel avec l’Italie de Meloni.
L’accord en question fait de la Tunisie le dépotoir de toutes les immigrations transméditerranéennes. Ainsi une barcasse qui quitte l’est du bassin méditerranéen, si elle entre dans la zone SAR imposée à la Tunisie par l’Italie et par l’Union européenne est automatiquement déversée en Tunisie, même si elle sort de Libye, d’Egypte, de Syrie. Chaque jour la Tunisie est sommée de récupérer en mer des barcasses sans que celles-ci n’aient eu de point de départ en Tunisie. Cette nouvelle responsabilité forme le piège qui s’est fermée sur la Tunisie. L’Italie unique « vendeur » de cette solution va arrêter ses financements, car l’Italie a passé le cap des éléctions européennes et n’a plus besoin de la Tunisie et des ses autorités qui sont de facto le dindon de la farce méditerranéenne.
Parallèlement les autorités tunisiennes n’ont jamais bloqué la frontière avec l’Algérie qui envoie en Tunisie des milliers de clandestins par jour.
Pire encore, des trains, des réseaux de cars interurbains, des louages, des contrebandiers de produits alimentaires se sont transformés en une mafia de l’invasion de la Tunisie. A ceux-là il faut ajouter les collabos directs de l’invasion ceux qui louent des maisons, des oliveraies, ceux qui font travailler, ceux qui sont complices de la prostitution, du trafic de drogues dures.
Au bout de la chaine les salonards des villes côtières qui pour certains vivent des associations et des fausses ONG… qui vivent du racket de l’Union Européenne, des pays Européens, des Etats-Unis.
Ce système mafieux qui va des réseaux mafieux subsahariens jusqu’aux bureaux des ambassades accréditées à Tunis, forme les tentacules d’une pieuvre qui enserre la Tunisie et qui est en train de la démanteler au vu et au su d’une population à laquelle on claironne que faire commerce de la terre des ancêtres finira par l’enrichir à terme.
Les salonards et professionnels de l’insulte n’ont pas vu cette tunisienne violée par les envahisseurs, n’ont pas entendu les cris de cet homme pauvre parmi les pauvres dépouillé par une horde sauvage, n’ont pas assisté à cet après-midi de terreur où au Km 25, un ramassis de criminels ivoiriens se sont donnés rendez-vous par centaines sabres et machettes aux mains pour mettre le pays en coupe réglée devant une population terrorisée et murée chez elle. Qui peut nier une colonisation quand une police subsaharienne s’est substituée à la police et à la garde nationale tunisienne ? C’est un triste moment après 68 ans d’indépendance.
A Madame Latifa Arfaoui, un grand merci, nous sommes à vos côtés, toujours et plus que jamais.
T.B.
Politologue