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Au lieu de penser à se défaire des « casseroles » dont il est présumé accusé, Fakhfakh continue à gérer la Tunisie comme s’il s’agissant d’une ferme familiale !!!
La décision de Fakhfakh de rebaptiser le Stade olympique de Radès au nom du virtuose du football tunisien, Hamadi Agrebi a suscité une grosse polémique et d’un échange d’insultes inutiles entre internautes, certains s’étant mis jusqu’à établir des comparaisons, sans raison, entre les deux personnalités.
A l’origine de cette polémique, on retrouve Fakhfakh qui, par son arrogance et son populisme, a mis les pieds dans le plat en prenant une fausse décision de rebaptiser le nom d’un lieu public au nom d’une personne décédée, sachant que Fakhfakh a parlé du Stade de Radès comme s’il s’agissait de sa propriété privée : «…J’ai décidé que je baptise le Stade olympique de Radès au nom de Hamadi Agrebi… ».
Pour qui se prend M. Fakhfakh ? Croit-il que la Tunisie est une « ferme familiale dont il dispose à sa guise ? » Croit-il qu’il a le droit de parler à la forme pronominale d’un lieu public appartenant à toute la communauté nationale ? Croit-il, qu’après toutes « les casseroles » où il est présumé soupçonné d’être impliqué, être en droit de prendre des décisions pareilles ?
Est-il encore en droit, du moins moralement et éthiquement, de donner des leçons et des conseils quant à ce qui doit être fait ou non ? C’est vraiment pousser le phénomène de l’arrogance à l’extrême !!!
Noureddine HLAOUI