Tunis, UNIVERSNEWS (MONDE) – Pour les responsables du cabinet de Donald Trump, « America first » n’est pas un simple slogan, surtout que tout ce qui est entrepris tourne autour du profit et de ce que peuvent gagner les USA. C’est le cas, avec le conseiller spécial l’américano-libanais, Boulos qui est en même temps parent par alliance avec le nouveau président américain, sachant que le fils Boulos est l’époux de la fille de Trump.
Lors de sa visite en Algérie, Boulos a parlé business, avec le président Tebboune, avec le courant est vite passé, entre les deux parties, loin du tintamarre concernant le génocide accompli par l’entité sioniste à Gaza. Massoud Boulos, le conseiller principal du président américain Donald Trump pour les affaires arabes et africaines, s’est dit mardi satisfait des résultats de sa visite en Algérie, soulignant qu’elle a été fructueuse à plusieurs niveaux, notamment dans les domaines du commerce et de l’industrie.
Dans un reportage vidéo publiée par l’ambassade des États-Unis en Algérie sur ses plateformes officielles, Boulos a exprimé sa profonde admiration pour l’Algérie, déclarant : «Je suis venu en Algérie avec une grande passion, et je repartirai avec une admiration encore plus grande, notamment à la lumière de la coopération qui unit nos deux pays». Il a souligné que cette visite «n’est que le début d’un travail commun pour un avenir plus prospère pour nos deux pays et pour la région».
Boulos a passé en revue les points saillants de sa visite, qui a débuté par une rencontre fructueuse avec le ministre d’État et ministre des Affaires étrangères algérien, Ahmed Attaf, au cours de laquelle ils ont évoqué l’importance de maintenir la sécurité et la stabilité dans la région. Boulos a également été reçu par le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, pour un entretien axé sur les grands défis auxquels l’Afrique et la région sont confrontées, ainsi que sur les perspectives prometteuses susceptibles de renforcer le partenariat entre l’Algérie et les États-Unis.
Certaines mauvaises langues sont même allées jusqu’à chercher à faire comprendre que l’Algérie ne voit pas d’un mauvais œil l’adhésion au accords d’Abraham
