TRIBUNE – Sfax (ex)ville tunisienne, jungle subsaharienne… Lettre ouverte au Président de la République

Tawfik BOURGOU*

  • Sfax est devenue le dépotoir de l’immigration illégale subsaharienne dont le volume dépasse la limite extrême de tolérance

  • Des mères et des couples subsahariens achètent des reconnaissances de paternité à des Tunisiens qu’on peut qualifier de traitres

  • Le président de la République a le devoir d’ordonner un audit complet des naturalisations par reconnaissance de paternité sur tout le territoire national

  • Cette submersion a coûté à la Tunisie ses relations de bon voisinage avec l’Italie et avec la France. Elle va coûter aux Tunisiens leur patrie !!!

  • La désignation des côtes tunisiennes comme un point de départ vers l’Europe de façon massive finira par effondrer le tourisme du pays


TUNIS – UNIVERSNEWS – Chaque jour apporte son lot de faits et d’affaires qui nous renseignent sur la rapide et inexorable descente aux enfers de la ville tunisienne de Sfax, ancien fleuron industriel du pays, fierté de tous les Tunisiens pour ses résultats scolaires et universitaires, pour les tunisiennes et les tunisiens qui l’ont construite.

Sfax est devenue le dépotoir de l’immigration illégale subsaharienne dont le volume dépasse la limite extrême de tolérance. Sfax est devenue un ghetto inacceptable. L’attractivité de la ville a chuté et derrière elle celle du pays.

Dernier épisode en date qui menace non seulement la ville de Sfax mais la Tunisie toute entière est le trafic de nationalité tunisienne. Des mères, des couples subsahariens achètent des reconnaissances de paternité à des Tunisiens qu’on peut qualifier de traitres et de criminels vendent leur paternité, vendent leur pays et la terre de leurs ancêtres pour quelques billets, le plus souvent envoyés depuis l’étranger.

En plus d’une invasion (le mot est faible) c’est aujourd’hui le détournement des lois du pays afin d’imposer un peuplement de substitution à la Tunisie.
Il convient de déclarer la ville de Sfax ville sinistrée, les images vues, ici et là, les informations qui remontent montrent une ville en détresse finale, qui menace à tout moment d’exploser, à cause d’une immigration de submersion qui est en train d’attaquer désormais l’ensemble de la bande côtière du nord au sud de Zarzis à Tabarka.

Cette situation est alimentée désormais depuis les profondeurs subsahariennes, avec la complaisance des Etats frontaliers, dont les Etats dits « frères ».
Contrairement aux affirmations de certains, la solution n’est que sécuritaire, immédiate et massive.

Il faut mettre immédiatement un terme aux accords de libre circulation et libre établissement, il faut limiter l’accès au territoire tunisien par voie aérienne. Il faut instaurer un visa draconien et contrôler tout établissement en lien avec les trafics liés à l’immigration clandestine
Nous l’avons dit ici à maintes reprises et en vain, il faut déclarer les frontières zones militaires exclusives afin d’arrêter les flux. Il faut bloquer l’accès par voies terrestres aux non tunisiens, libyens, algériens.

Le président de la République a le devoir d’ordonner un audit complet des naturalisations par reconnaissance de paternité sur tout le territoire national et exiger de la Ministre de la Justice la mise en place d’une procédure de retrait pour fraude, d’arrestation de tout fraudeur et d’expulsion des complices.

Il est du devoir du Président d’ériger la question du peuplement frauduleux du pays en une atteinte à la sécurité nationale et de procéder sine die à la mise en place d’un plan d’expulsion et d’éloignement massif des illégaux.

L’immigration clandestine subsaharienne coûte à la Tunisie une ingérence inacceptable dans ses affaires souveraines, c’est le biais par lequel se sont immiscées des ONG liées à des officines et des intérêts étrangers, cette submersion a coûté à la Tunisie ses relations de bon voisinage avec l’Italie et avec la France. Elle va coûter aux Tunisiens leur patrie. C’est un danger mortel pour la nation tunisienne.

L’immigration clandestine subsaharienne est en en train de détruire l’économie nationale, le tourisme dépend directement d’un climat de paix civile, il dépend d’une bonne attractivité. La désignation des côtes tunisiennes comme un point de départ vers l’Europe de façon massive finira par effondrer le tourisme du pays.
Par ailleurs et in fine, ceux qui parmi les Tunisiens qui profitent de cette immigration subsaharienne à quelques degrés que ce soit se rendent coupables d’atteinte à la sécurité nationale du pays, à l’avenir des générations futures des Tunisiens et des Tunisiennes.

Le Président se doit d’agir dans les heures, car, Sfax comme toutes les autres villes menacent de s’effondrer rapidement.
Monsieur le Président faites votre devoir envers votre patrie, agissez avant qu’il ne soit trop tard.

T.B.
* Politologue

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