TUNIS – UNIVERSNEWS – Chacun exprime ses sentiments, les uns par l’ironie, les autres par la compassion ou les sentiments… mais, le résultat est que le message parvient et qu’on fait entendre sa voix.
Je dessinerai des sourires
Une amie Amel Bedda Mzah, enseignante de carrière et faisant partie d’un Lion’s club, vient de nous rappeler, dans un post, les principes de la vie, conformément aux règles de l’humanité, et comme l’avait dit le prêtre catholique, l’abbé Pierre dans ces mots très expressifs :
« Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir.
Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine.
Je continuerai à construire, même si les autres détruisent.
Je continuerai à parler de paix, même au milieu d’une guerre.
Je continuerai à illuminer, même au milieu de l’obscurité.
Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte.
Et je continuerai à crier, même si les autres se taisent.
Et je dessinerai des sourires sur des visages en larmes.
Et j’apporterai le soulagement, quand on verra la douleur.
Et j’offrirai des motifs de joie là où il n’y a que tristesse.
J’inviterai à marcher celui qui a décidé de s’arrêter…
Et je tendrai les bras à ceux qui se sentent épuisés. »
- C’est vraiment à méditer, parce que tout cela nous rend encore plus humain, pour défendre le droit à la vie des Palestiniens.
Les mots dans la marge
Une autre amie, Sonia Boughattas, inspectrice centrale des finances publiques, au contrôle fiscal, vient de nous rappeler qu’il ne faut pas oublier les petits détails, parce qu’ils sont la plupart du temps des éléments très importants dans la vie.
« Tout ce que je veux dire, c’est qu’il y a des choses plus importantes dans le vie que l’histoire principale. Fais attention aux mots dans la marge, parce qu’ils sont peut-être même plus importants encore ».
- En étudiant les petits détails, on peut comprendre la profondeur de la pensée et la sensibilité de certaines personnes qui veulent du bien pour l’humanité.
Les clés de la tour de Mornaguia
Le journaliste Kamel Askri nous ramène encore à l’évasion des détenus terroristes de Mornaguia, avec son humour lugubre
« Si la clé de la tour de guet de Mornaguia, qui est l’endroit le plus surveillé de la république, est perdue… cela signifie que les clés de toute la république sont perdues… Arrêtez ces mises en scène… que Dieu vous protège !!! »
- Différents scenarii ont été évoqué, sur le réseau Facebook… et comme les Tunisiens ne veulent plus croire en rien… on s’en moque !!!