Une source digne de foi nous a confirmé qu’il avait été décidé de garder à vue cinq des agents de la garde nationale à l’Aouina, et ce, suite à leur implication dans la falsification des documents administratifs afin de bénéficier de subventions financières illégales.
Les recherches ont, également, prouvé que les cinq détenus étaient impliqués dans la fraude à plusieurs licences administratives et dans la modification des plans de travail afin d’obtenir des privilèges financiers et administratifs égarés.