
Tunis, UNIVERSNEWS (Religion) – Expliquer la religion et ses préceptes n’est pas chose facile, et il n’est pas certain que les imams et imams prédicateurs qui sont en place, actuellement, répondent aux critères nécessaires, pour le faire et pour aider à la lutte contre l’extrémisme et le terrorisme qui prend pour couverture l’Islam et qui en donne une piètre image.
Effectivement, selon les statistiques du ministère des Affaires religieuses, le nombre d’imams et de prédicateurs s’élève à 2 428, dont 937 sont titulaires d’une licence. Cela signifie que 1 500 des personnes chargées par le ministère de prêcher et de s’adresser aux fidèles chaque semaine n’ont pas terminé leur formation et les études nécessaires de faire bon usage des nobles préceptes de l’Islam.
Le nombre de ces responsables de mosquées a triplé après le 7 novembre, passant d’environ 6 000 en 1987 à plus de 18 000 en 2017. D’ailleurs, la pieuvre islamiste n’a pas manqué de puiser dans ce vivrier, depuis la révolution, ce qui a permis aux forces occidentales de classer la Tunisie en tête de liste des pays exportateurs de terrorisme, avec des extrémistes qui sévissent, un peu partout, dans le monde, sous prétexte du « Jihad », alors que leur objectif est l’argent et le sexe !!!
D’après les chiffres officiels, le nombre des mosquées était de 4480 en 2017, après avoir été de 2170 en l’an 2000. Ce nombre n’a pas cessé d’augmenter, surtout après la « maudite révolution des jasmins » pour atteindre 6129 mosquées et lieux de culte, d’après un décompte établi, en mars 2023, dont la plupart avaient été dirigées par des éléments appartenant au mouvement islamiste Ennahdha, pour être des terroirs du terrorisme, au cours des dernières périodes.
Parler d’un enseignement religieux qui n’est capable de couvrir que moins de 40% des postes d’Imams à pourvoir est une aberration, alors que de tous temps l’Université Ezzitouna a permis d’offrir des érudits et de savants que beaucoup d’autres pays musulmans nous envient… et ce n’est pas en encourageant l’ignorance, l’obscurantisme et la crainte d’une punition divine qu’on va donner la meilleure image de l’Islam et de ses nobles préceptes qu’on a relégué aux oubliettes, afin de faire peur aux croyants.
D’après les chiffres officiels, le nombre des mosquées était de 4480 en 2017, après avoir été de 2170 en l’an 2000. Ce nombre n’a pas cessé d’augmenter, surtout après la « maudite révolution des jasmins » pour atteindre 6129 mosquées et lieux de culte, d’après un décompte établi, en mars 2023, dont la plupart avaient été dirigées par des éléments appartenant au mouvement islamiste Ennahdha, pour être des terroirs du terrorisme, au cours des dernières périodes.
La question qui se pose maintenant est s’il nous est permis de parler de développement du discours religieux et de présenter une lecture qui soit en phase avec son temps et loin de toute signification d’extrémisme ?! (F.S.)