
Tunis, UNIVERSNEWS (MONDE) – La situation n’est pas, vraiment, florissante et ne prête pas à l’optimisme en Turquie où le seigneur des Ottomans fait le ménage pour éliminer tous ses concurrents, dans la course à la présidentielle. Les arrestations des leaders opposants s’est intensifiée, ces derniers jours, et le dernier en date est le maire d’Istanbul, Ekrem Imamoglu, qui appartient au Parti républicain du peuple, sous prétexte qu’il fait face à deux enquêtes distinctes qui comprennent également des accusations de direction d’une organisation criminelle, de corruption et de trucage d’appels d’offres.
Mais, malgré l’interdiction des rassemblements et au milieu d’un black-out médiatique… des manifestations massives ont eu lieu dans la ville d’Istanbul et à l’Université d’Istanbul en raison de l’arrestation par le gouvernement Erdogan des chefs des partis opposés à lui et de sa violation flagrante des droits de l’homme en Turquie et à l’étranger..